Le seul ingrédient indispensable pour avoir confiance en soi!
Relation

Le seul ingrédient indispensable pour avoir confiance en soi!

Découvre dans cet article un ingrédient indispensable pour avoir confiance en toi au quotidien! C’est un ingrédient simple quand tu en prends conscience, et pourtant il est si facile de l’oublier!

Bonjour et bienvenue !
Si tu es nouveau ici, je m’appelle Max et je nourris ce blog car j’ai à coeur de m’épanouir dans mes relations. Je crois que je peux t’aider aussi, en te partageant mes expériences, mes lectures, et ma joie au quotidien 🙂
Mon idéal, que je veux partager avec toi, est de vivre chacune de mes relations comme une expérience de joie.
Gros bisous ! 😉

Cet article participe à l’évènement “Reprendre confiance en soi et oser vivre sa vie à sa manière” du blog suis ta boussole. C’est vraiment un super blog! Il donne pleins de bons conseils très pragmatiques et très utiles, je te le recommande chaudement :). J’aime particulièrement cet article.

Hello toi !

Je suis très heureux d’avoir l’occasion de te parler de ma vision de la confiance en soi. Comme tu vas le voir, j’ai un vécu assez étonnant :).

De plus, j’ai trouvé un ingrédient indispensable que beaucoup de gens oublient pour avoir confiance en soi. Cet ingrédient est beaucoup plus simple que ce que l’on pense! Bonne lecture ;)!

Mon histoire personnelle

La raison pour laquelle le sujet de la confiance en soi me tient à coeur, c’est que j’ai vécu pendant plus de 20 ans son absence dans quasiment toutes mes relations.

Depuis mon plus jeune âge, aussi loin que remontent mes souvenirs, j’ai toujours été stressé en compagnie des autres: que ce soit mes camarades de classe, mes parents, mes professeurs, ma famille…

Je n’arrivais pas à me sentir accepté. Je cherchais toujours à plaire aux autres et à obtenir leur reconnaissance. J’avais de très grosses difficultés à me sentir bien en compagnie de mes camarades d’école. Je recherchais désespérément une quelconque reconnaissance auprès de mes parents et de mes professeurs, en leur ramenant de bonnes notes.

Je commettais l’erreur classique que font toutes les personnes dépendantes en relation : je plaçais la priorité sur les besoins et les désirs des autres, et je reléguais les miens au second rang.

La raison de mon manque de confiance

Placer ses besoins et ses désirs en-dessous de ceux des autres: pourquoi tant de personnes commettent cette erreur ?

Ma réponse est personnelle, mais je crois que tu t’y reconnaîtras.

C’est ce que l’on nous a appris. De par les systèmes de punition et de récompense que nos parents et notre éducation utilisent si souvent, j’avais appris que, pour être aimé, je devais être un garçon gentil, bien faire mes devoirs, sourire à la maîtresse et, surtout, surtout, bien travailler pour avoir de bonnes notes. C’est ce que j’ai appliqué à merveille durant les 20 premières années de ma vie, remportant les plus beaux succès académiques dont je rêvais et dont ma famille rêvait.

L’heure du réveil

Le seul ingrédient indispensable pour avoir confiance en soi! Heure du réveil

Seulement voilà, l’heure du réveil a sonné.

Aujourd’hui, fort m’est de constater trois points :

  • malgré tous mes efforts « pour rendre mes parents fiers de moi », mes relations avec eux, ainsi qu’avec ma famille, ne sont pas particulièrement épanouies.
  • malgré tous mes efforts pour me « sacrifier » pour ma partenaire dans ma relation de couple, elle est partie, écoeurée de mon sacrifice.
  • malgré tous mes efforts pour plaire aux autres, depuis mon plus jeune âge, force m’est de constater une chose : je n’en retire pas l’épanouissement attendu, loin de là.

En 20 ans, j’ai appris une chose :

Agir « pour les autres » ne nous permet pas de nous épanouir.

Une relation amoureuse désastreuse

J’ai vécu durant ma première relation amoureuse la dépendance affective à un point dont je ne m’aurais jamais imaginé être capable. J’avais besoin d’elle, en permanence, pour être bien. Sinon, je paniquais, je m’affolais, j’avais peur de tout et de rien, je me faisais des films dans ma tête.

J’avais besoin de ses preuves d’amour chaque jour.

Lorsqu’elle m’a quitté, complètement dégoûtée de ma dépendance (et je la comprends), il m’a fallu un peu de temps pour comprendre la triste vérité.

Cette expérience désastreuse était la conséquence logique de ma manière habituelle d’entrer en relation. Cette relation était un échec programmé.

Pourquoi ? J’avais pendant trop longtemps omis d’oeuvrer sur ce qui devrait être l’un des piliers principaux de l’éducation des enfants :

la confiance en soi

Comment améliorer la confiance en soi?

Si tu as lu l’article de Chrystelle sur la confiance en soi sur son blog suistaboussole.fr, tu sais qu’il existe de nombreux leviers très efficaces pour améliorer sa confiance en soi. Parmi ceux-ci, il y a :

  • Règle 1: repérer quelles sont les causes du manque de confiance en vous.
  • Règle 2 : savoir gérer ses émotions négatives.
  • Règle 3 : faire des choses qui vous plaisent pour renforcer l’impact des situations positives.
  • Règle 4 : se fixer des objectifs réalisables.
  • Règle 5 : pratiquer auto compassion et célébrer ses réussites
  • Règle 6 : se bouger en sortant de sa zone de confort.

Je ne saurais que trop te recommander d’appliquer chacun de ces points ! Ils te mèneront à bien plus de confiance en toi et aussi à beaucoup plus de joie au quotidien ! Tu te sentiras beaucoup plus accompli.e et libre !

Je pourrais étayer bien sûr tous les propos de Chrystelle avec de nombreux exemples issus des livres que je lis pour mon défi de lire 52 livres sur la relation et sur l’amour de soi. Toutefois, je crois que tu comprendras beaucoup mieux et beaucoup plus vite le sens profond des propos de Chrystelle avec des exemples concrets de ma vie personnelle. Pour cela, je vais te montrer comment j’applique le premier point: repérer les causes de mon manque de confiance en moi.

Ensuite et enfin, je te parlerai du seul ingrédient indispensable selon moi pour développer une confiance en soi vraiment inconditionnelle.

Repérer les causes de ton manque de confiance en toi: exemple

Chrystelle recommande de faire une liste de 10 choses ou situations que tu ne veux plus et qui t’empêchent d’avancer.

Les voici, dans mon cas :

  1. Le regard des autres
  2. Le jugement et les attentes de mes parents, la peur de les décevoir
  3. La relation que j’ai avec mes amis
  4. Le regard et le jugement des femmes que j’aborde pour les draguer.
  5. Le regard des passants lorsque j’aborde des femmes pour les draguer.
  6. Le stress que je ressens chaque matin de la semaine lorsque j’arrive sur mon lieu de travail
  7. Mon anxiété lorsque je rencontre de nouvelles personnes
  8. Mon anxiété lorsque je rencontre un nouveau groupe de personnes
  9. Ma peur de déplaire lorsque je dois refuser une demande, lorsque je dois dire non.
  10. Ma peur d’être jugé pour le fait d’être seul
  11. Ma peur viscérale du rejet dans la relation
  12. Ma peur d’être abandonné
  13. Ma peur d’être trahi
  14. Etc.

Je pourrais faire une liste qui va de la Terre à la Lune. Toutefois, tu l’auras compris, le point commun entre tous les éléments de cette liste, c’est les autres.

L’ingrédient essentiel de la confiance à soi…

Les autres = la source de toutes mes souffrance ?

Les autres, c’est le but, le commencement et la fin de mon existence. C’est la source de mes plus grandes souffrances, de mes plus grandes joies, et de mes plus grands accomplissements.

Nous naissons, nous grandissons, et nous évoluons pour les autres, par les autres.

Quelle est l’ingrédient essentiel de la confiance en soi dans la relation ?

Pourtant, au milieu de tout ça, je veux et je recherche un point d’équilibre. Un point de bienveillance. Un point qui n’est ni positif, ni négatif. Un point qui m’accueille dans tout ce que je suis, que je sois seul ou accompagné, en tout temps et en tout instant.

Ce point là a un nom : il s’appelle soi-même. Il s’appelle la présence à soi. Cette présence, ce sentiment de connexion est ce que tu recherches dans chacune de tes interactions, parfois même inconsciemment.

Cet ingrédient essentiel est à l’intérieur de toi

Ce point est ce qui te fait vivre, ce qui te fait respirer, ce qui te fait vibrer.

Lorsque tu trouves, ou trouveras, cette source neutre de bienveillance et d’accueil inconditionnel de toi-même, en toi-même, alors ton rapport au monde changera du tout au tout.

Tu continueras à agir et à interagir avec les autres, à vivre comme tout le monde !

Seulement, tu n’agiras plus par envie d’être aimé, ni d’être reconnu. Tu n’auras plus besoin de cette reconnaissance là. Tu te reconnaîtras et tu t’aimeras toi-même, juste pour ce que tu es, sans aucune autre condition.

Un idéal irréaliste?

Maxime, c’est très gentil tout ça, mais je ne vois pas comment, moi, dans ma vie, je pourrais atteindre cet état. Ce que tu dis paraît quand même un peu utopique, irréaliste, voire inatteignable…

Oui, tu as raison en fait :).

C’est un idéal irréaliste. D’ailleurs, on pourrait presque dire que les idéaux, par définition, c’est censé être irréaliste.

Mais alors, est-ce que ce n’est pas un peu frustrant de vouloir tendre vers quelque chose qu’on ne peut pas atteindre? Est-ce que ça ne va pas justement à l’encontre de la pleine acceptation de ce que je suis, là maintenant?

Bravo! Oui en effet, tu as bien suivi 😀

En fait, pour moi un idéal, c’est à la fois :

  • un état auquel nous aspirons, qui nous donne la force intérieure et l’envie d’agir
  • un état que nous avons déjà atteint intérieurement, ne serait-ce que parce que nous sommes capables de l’imaginer !

Le pouvoir de l’imagination pour se réinventer

Une partie de notre cerveau, dénommée l’inconscient, ne fait pas de différence entre le passé, le présent, le futur, le réel, et l’imaginaire. Or, Cette partie inconsciente est celle qui gouverne la majeure partie de nos actions, de nos pensées, et de nos paroles, sans que nous ne nous en rendions compte.

D’où l’intérêt de vivre ton idéal « irréaliste » comme quelque chose que tu as déjà en toi, au plus profond de ton coeur, et qui ne demande qu’à éclore, petit à petit, dans ta vie de tous les jours. Cela demande patience et vulnérabilité. C’est d’ailleurs deux caractéristiques des poules couveuses!

Nous, humains, couvons l’amour à l’intérieur de nous. Et l’éclosion est proche.

C’était mon conseil final pour cet article 😉

J’espère que tu as aimé et apprécié mon témoignage et ma vision de la confiance en soi 🙂 Voici ce que je t’invite à faire:

Commente et partage cet article 😉

A très vite!

Love <3

Maxime

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2 commentaires

  • taniasaraogi

    Merci pour cet article. Oui je pense que l’éducation est un point de départ au fait de vouloir plaire mais je pense aussi que c’est par compensation ou pour attirer l’attention. Si un parent a été plus présent qu’un autre ou s’il ne s’est pas trop intéressé à soi, alors inconsciemment on recherche cet amour, ou cette attention qu’on n’a pas reçue. L’enfant a besoin d’encouragement et d’attention pour se développer en confiance.

    • jardinier_d_amour

      Coucou merci beaucoup je trouve que c’est une très bonne analyse que tu fais ! 🙂
      Bon j’avoue que je ne faisais pas la distinction entre vouloir plaire et attirer l’attention;
      Oui c’est bien vrai ça, nous sommes de petites plantes…et même s’il nous pousse un tronc solide en grandissant, notre coeur lui est toujours tendre comme celui d’une jeune pousse qui vient seulement de percer le sol.
      Belle journée

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